Source : Le FigaroLe système de censure chinois s'organise en trois cercles qui tentent de réduire le plus possible l'espace de liberté de millions d'internautes. Pékin procède aussi au «hacking patriotique» et, selon les experts, la Chine serait à l'origine de près d'un tiers des «programmes malveillants» de la planète.
À l'évidence, les cercles les plus conservateurs du pouvoir pékinois rêveraient de transformer l'Internet chinois en gigantesque Intranet pour 1,3 milliard d'habitants, un réseau interne ne puisant aux sources du Web mondial que le juste nécessaire. En tout cas, étanche à ses contenus nuisibles moralement… et politiquement....La suite
vendredi 22 janvier 2010
Comment la Chine contrôle Internet : Arnaud de la Grange nous raconte !
mardi 8 décembre 2009
E-réputation : SociétéDeLinformation, No. 64 consacre un dossier à la calomnie, nouveau standard du web.
Sommaire du Numéro 64 de la revue Société de l'informationDeux films récents font du web le lieu ultime de la vengeance. C’est sûrement plus qu’un hasard, les deux comédies étant l’oeuvre de deux réalisateurs différents. Ken Loach dans Looking for Éric et Jean-Pierre Jeunet dans Mic mac à tire larigot font d’Internet le lieu où les petits peuvent se venger des turpitudes
des plus forts qu’eux (des trafiquants de drogue et des marchands d’armes). Une vidéo publiée sur un site idoine et voilà le coupable soumis à l’ultime châtiment de l’ère numérique : il est ridiculisé. Sa réputation est réduite à zéro !
Deux comédies révélatrices de nouvelles pratiques qui nous incitent à réagir et à débattre. Parce que ces films font l’apologie d’une justice auto-administrée, d’une forme high tech de la vengeance, qui rappelle davantage le goudron et les plumes que les droits de la défense et le respect de la procédure. Parle-t-on encore de justice quand il suffit de publier sur un blog des propos à la limite de la diffamation pour régler ses comptes ?
C’est à ce mouvement de délation généralisée que s’intéresse Sociétés de l’information. D’abord parce qu’il alimente les critiques croissantes qui fusent contre le réseau, soudain accusé de tous les vices après avoir été paré de toutes les vertus.
Ce numéro vous raconte les malheurs de Lola, une adolescente dont la réputation est malmenée sur le net. Il vous raconte aussi comment certaines entreprises incitent les salariés à dénoncer les comportements délictueux. Vous y verrez comment le mouvement gagne le monde. Sans oublier la chronique juridique du mois qui examine le nouveau statut des éditeurs de services. Retrouvez enfin le reportage de notre envoyée spécial au Forum de la gouvernance sur Internet.
Le grand air de la calomnie - nouveau standard du web ?
Face à face
Récit
Vues d’ici et d’ailleurs
Enquête
La page de l’Isoc Monde
mercredi 18 novembre 2009
L’An « zéro » de l’Intelligence Economique en Afrique?
Appropriation de l’I.E
Benchmarking de l’I.E
mercredi 21 octobre 2009
L’intelligence économique peut-elle avoir son utilité en Afrique ?
Depuis quelques années, les bouleversements que connait l’économie mondiale provoquent des changements dans plusieurs domaines. Aujourd’hui, à l’ère de l’information, savoir maîtriser son environnement est plus que vitale aussi bien pour les entreprises que pour les nations elles-mêmes. Il s’agit surtout de l’information économique abondante, parfois éparse et diversifiée. Ainsi face à cette situation en constante évolution, il convient de bien comprendre ce qui nous entoure, autrement dit comprendre son environnement, c’est savoir s’informer. En clair, la principale articulation de cette démarche réside dans la recherche d’information économique à usage stratégique surtout dans sa diffusion.
Article paru dans AgoravoC’est ce que des continents comme l’Europe ont compris depuis près de deux décennies ; la capitalisation et utilisation stratégique (protection et diffusion) de l’information notamment celle à caractère économique. Vraisemblablement, des méthodes et des pratiques existent pour mieux s’approprier l’information la plus utile. Il s’agit entre autres des outils de surveillance comme les différents types de veilles et dans un sens plus large de l’Intelligence Économique devenue une discipline à part entière et exclusive....lire la suite
vendredi 9 octobre 2009
Projet de veille chez BNP Paribas: la banque propulse sa veille dans le 2.0
Doté d'une équipe d'une cinquantaine de personnes, le département des études économiques de BNP Paribas s'est engagé en 2004 sur la mise en place d'un vaste projet d'une plate-forme Leonard.
Son objectif : favoriser l'usage de l'information économique et financière en exploitant plus efficacement celles en provenance de ses bases de données internes mais également de Presse qui sont venues se rajouter aux données des veilleurs.
L'une des premières briques sur laquelle BNP Paribas s'est appuyée a été le moteur de recherche. Une solution intéressante mais qui aura été loin de combler à elle seule les ambitions du département des études économiques...lire la suite.
vendredi 2 octobre 2009
L’Art de la Guerre [économique] au nom de Dieu
"Dieu est de retour. Il serait à la mode. En cette période du mois béni de ramadan, IL est tendance et IL l’a toujours était chez certains. De tout temps des voix se sont levées au nom de cette Cause. Des peuples, des souverains et des armées se sont battus au nom de Dieu tandis que d’autres ont choisi une voie plus douce pour négocier toujours au nom Dieu. A partir de ces deux dynamiques : l’argument de la force par la guerre, et la force de l’argument par la négociation, toutes menées sur le chemin de Dieu, des armées ont été déployés, des ressources mobilisées et des stratégies dignes de l’art de la guerre, élaborées afin de triompher dans ces « guerres saintes ».
Cette dernière logique - la négociation - appliquée au cadre commercial, entre sans doute dans l’affrontement économique des temps modernes, accentuée par la mondialisation et l’accélération des échanges et faisant de tout le monde le concurrent de tout le monde . S’engager dans cette guerre économique au nom de Dieu révèle t’elle une nouvelle dimension d’un « Jihad » sur le fondement de préceptes de la tradition des livres saints tels que le Coran - comme l’Eglise catholique, jusqu’à il y a cinq siècles - bannissant l’usure, à laquelle ils préfèrent le partage des profits et des pertes....
Lire la suite de l'article sur RHZINE
lundi 7 septembre 2009
L'intelligence Economique à l'ère de Google
mercredi 29 juillet 2009
Webometrie : classement mondial des sites web des universités
En fouillant un peu j'ai remarqué que l'université francophone est assez mal classée comme c'est toujours le cas pour ce genre d'étude. La première université française (Paris 6, Pierre et Marie Curie) est 129e mondiale
Concernant l'Ucad, l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, l'étude la classe au 18e rang en Afrique. Elle est aussi la 1ere université francophone africaine. C'est honorable à l'échelle continentale mais on peut être plus ambitieux que ça. Vu l'état du site de l'Ucad, son manque de dynamisme et d'interactivité je crois qu'il y a encore beaucoup à faire en terme de visibilité, de diffusion et de partage du savoir.
Pour le classement voir à l'adresse : http://www.webometrics.info/
Pour plus d'informations : http://www.webometrics.info/
Merci à Bernard Dione
mardi 14 juillet 2009
VeilleMap : Cartographie de la veille stratégique
VeilleMap inaugure dans ce blog une série dédiée au partage de connaissances dans les différents domaines de la veille, de l'intelligence économique et des sciences de l'information et de la communication etc. Elle ne revendique pas l'exhaustivité mais essaie d'expliquer de manière schématique et synthétique ce que sous-tend cette activité de collecte, de traitement et de diffusion de l'information stratégique à des buts décisionnels et compétitifs.
dimanche 28 juin 2009
Livre blanc : Filtrage et Internet au bureau : Enjeux et cadre juridique !
Le spécialiste du filtrage Olfeo et le cabinet d'avocats Alain Bensoussan font le point sur les modalités juridiques du filtrage de trafic internet au sein des entreprises
Pour préserver sa bande passante, le CHU de Montpellier filtre les accès à Facebook, Youtube et Dailymotion depuis mars dernier. Il n'est pas le seul. Le ministère des Finances et de la Fonction publique interdit aussi l'accès aux réseaux sociaux, aux sites de vidéos et aux sites d'enchères. La Poste a également mis en place un filtrage internet. Ces différents cas récemment relatés dans la presse font écho à la sortie du rapport "Filtrage et Internet au bureau : enjeux et cadre juridique" co-écrit par le spécialiste du filtrage Olfeo et le cabinet d'avocats Alain Bensoussan. "Face aux menaces liées à l'utilisation d'internet en entreprise, peut-on prendre le risque de ne pas contrôler le trafic des collaborateurs ? Quelles sont les obligations légales ?" s'interrogent les auteurs de l'étude.
Selon eux, les risques pour l'employeur sont nombreux : juridiques (responsabilité pénale et civile), techniques (intrusions, virus, divulgation d'informations confidentielles) et financiers (liés à la perte de productivité des salariés). "L'enjeu du filtrage est de limiter l'accès des salariés aux contenus illicites, mais aussi de limiter la responsabilité de l'employeur", résume Eric Barbry, avocat au cabinet Alain Bensoussan qui a participé à la rédaction du rapport. Olfeo chiffre de son côté la baisse de productivité à six semaines par an et par collaborateur, soit 15 % du temps de travail annuel. Et côté technique, le CHU de Montpellier a mesuré que les applications "non professionnelles" peuvent consommer jusqu'à 90 % de la bande passante internet de l'entreprise.
La loi reconnaît l'utilité du filtrage internet depuis dix ans, suite à la décision de justice 276/1999 CE qui confirme que "les outils de filtrage constituent des éléments essentiels pour assurer un environnement internet plus sûr". La jurisprudence conforte cette tendance en légitimant la mise en œuvre d'un contrôle des connexions internet et elle reconnaît le droit de loguer le trafic. Dans un arrêt du 9 juillet 2008, la Cour de Cassation a retenu que, dans une entreprise, les connexions à internet étaient "présumées professionnelles" : l'employeur peut donc rechercher ces données et ce, hors de la présence de l'employé.
L'intégralité du Rapport est accessible ici
Sources: indexel.net, Olfeo